En début de saison, l’inquiétude était bien présente quant au contexte sanitaire et tout le foin associé surtout lorsqu’il est question de voyager à l’étranger. Je laissais « place libre » pour la coupe du monde de Guatemala, et je n’étais pas au niveau pour les coupes du monde suivantes par manque d’engagement au quotidien sur les entraînements, il était difficile de pouvoir se projeter. D’ailleurs je l’avais écris, quelque peu agacé par le contexte et la façon dont nous étions « géré » et mis de côté. Puis les confinements ont cessé et l’activité professionnelle a pu reprendre dans de meilleures conditions. Cela a clairement relancé ma machine et j’ai recommencé à vivre au rythme d’une itinérance programmée, à l’entraînement soutenu et avec des objectifs clairs. Après les médailles d’or décrochées aux championnats de France FITA et campagne, mon plan de reprise me portait jusqu’aux Europe campagne et mondiaux FITA. Encore une belle épopée, mais à quel prix ?